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 Lau Kai, The killing Shadow

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Lau Kai, The killing Shadow Empty
MessageSujet: Lau Kai, The killing Shadow   Lau Kai, The killing Shadow EmptyMar 6 Aoû - 9:44


Kai Lau


Âge 24 ▬ Origines Chinoises ▬ Orientation sexuelle hétérosexuelle ▬ Statut social célibataire ▬ Groupe dangereux ▬ Code du règlements OK By Seunghyun


I live   Caractère
This is who I was. This is who I am.


 Arrogant, narcissique, trouve les humains répugnants (faibles, pathétiques, juste bon pour être des jouets), impulsif, orgueilleux, fier.


Son pire ennemi? L’ennui. Kai recherche le divertissement, l’action, le plaisir.


Lau ne possède pas vraiment de sens moral à proprement parler…selon lui, le Bien et le Mal sont des constructions sociales de toute façon.


Kai est un homme de focus : lorsqu’il se met en tête un but, il n’en démord pas. Il ne quitte pas son objectif des yeux et fera tout pour l’atteindre. Lorsqu’il désire quelque chose, il l’obtient.


La vie est futile alors tout est un jeu pour lui, aime les défis et se surpasser, dominer les autres sur son chemin comme ses pions, ses possessions, comme un collectionneur (conquêtes = victoires)


comme la vie n’a aucun sens, elle ne sert qu’à être vécue au maximum, à profiter au maximum du moment ou des autres Wink se satisfaire est l’objectif, la compensation d’être vivant dans une existence pareille. Le plaisir est la récompense. Kai envisage de se suicider le jour où il ne trouvera plus plaisir dans rien, plus d’intérêt, de but, où il n’aura plus rien à gagner. La mort n’a rien d’effrayant pour lui. Elle signifie seulement la fin d’un parcours. Et s’il vit de façon à goûter à tout, il n’aura rien à craindre de partir, pas de regrets. De plus, dans son métier dangereux, la mort est un risque quotidien. Être abattu pendant un contrat signifierait que son temps est venu. Et ce risque planant au-dessus de lui chaque jour lui fournit l’énergie dont il a besoin pour continuer d’avancer : l’adrénaline. Kai est à la recherche de sensations fortes pour se sentir vivant. Le calme est pour les faibles et les lâches.


Live to the fullest, Regret Nothing. Hell awaits anyway for Heaven is a lie. 




Before   Histoire
This is my story...

 
Kai Lau vit le jour en Chine, dans une ville sans histoire. Il ne connut pas ses parents, mis en adoption dès la naissance, puis il voyagea de familles d’accueil en familles d’accueil. Sans jamais d’attaches, Kai ne se fit pas vraiment d’idée de ce qu’est l’affection. Comment ses parents pouvaient-ils l’aimer, s’ils l’avaient abandonné? Comment une famille le recueillant l’aimait-elle si elle se débarrassait de lui?

Et puis, « monkey see, monkey do ». Quand dans certaines familles il voyait le père crier et obtenir ce qu’il voulait, ou bien frapper et plier les autres à sa volonté, il se dit qu’il fallait en faire de même pour faire sa place dans ce monde. Dès son enfance il était turbulent, bagarreur. Il tirait les cheveux, mordait, se battaillait, criait. À l’adolescence, il fut envoyé en centre de correction et sembla se calmer un peu mais l’agressivité existait toujours dans ses veines. Il s’entraîna comme exutoire à son trop plein d’énergie. En bonne forme, il devint encore meilleur combattant.


Dans un club d’autodéfense, il rencontra des amis que l’on qualifierait de mauvaises fréquentations. Ses partenaires en crime l’introduire au monde de l’ombre. Là commencèrent sa consommation d’alcool, de cigarettes et de drogues. Les batailles de groupes d’amis de la petite école devinrent des bagarres de gang, du sang au rendez-vous, nez brisés, jointures rougies et une soif encore plus accrue de violence, de victoire, de pouvoir.


Kai mena une double vie, élève ordinaire à l’école, criminel de ruelles en dehors. Vol à l’étalage, vandalisme, entrée par infractions, guerres de territoire de gang, braquage de petits magasins. Et le fruit de ses crimes lui rapportait l’argent pour ses vices : boisson et drogues. Sa famille d’accueil du moment était désespérée de le voir si souvent rentrer tard ou pas du tout, revenir couvert de blessures ou pire le retrouver au poste de police du quartier. Kai abandonna ses études et fuit le domicile familial. Il crécha chez son meilleur ami Minho qui faisait pourtant tout en son pouvoir pour le sortir de cet enfer.


Alors qu’il atteignait ses 17 ans, il fut recruté par un groupe plus sérieux. Une clique bien plus dangereuse que ses camarades de classe. Une vraie bande du crime. Les Black Lotus. Intéressé par son talent, la bande le prit comme homme de main. Il fut marqué au fer rouge à la base de la nuque. Une brûlure en forme de Lotus au milieu d’un cercle. Il était pour eux un chien enragé qu’on relâchait sur qui bon leur semblait. Kai s’endurcit, souvent battu pour ses écarts de conduite ou son rejet de l’autorité. Mais il apprit à tuer. Et devenir une arme était son nouvel objectif. Devenir le meilleur. Il était sans famille, perdait tous ses amis, ne vivait que pour la bande, manger, payer sa drogue. Il n’avait rien à perdre.


Près de deux ans plus tard il fut vendu à un autre groupe, les White Tigers. Traité comme de la marchandise, Kai était effectivement simplement une arme, un outil, et n’eut rien à dire alors qu’il passait entre les mains d’un groupe à un autre. D’autres leaders, d’autres boss qui lui dicteraient quoi faire, lui fourniraient des contrats, des missions, des objectifs mais aussi des armes, un loyer, de l’argent pour les loisirs bien mérités (putes, bars, substances). Maintenant membre d’un groupe plus respecté, il fut tatoué entre les omoplates, une tête de tigre blanc, la gueule ouverte, montrant les crocs, dans un style vielle école. Une tradition pour les groupes de marquer leurs membres par des tatouages, une appartenance, une fierté, une promesse d’allégeance.


Trois ans plus tard, une guilde rivale s’attaqua aux White Tigers. Ennemis depuis un moment, la guerre ouverte éclata et le quartier général des Tigers fut assailli par le Dancing Dragon. La plupart furent tués ce jour là sous les griffes des Dragons, mais Kai fut épargné. Un fusil sur la tempe, on lui fit l’offre de rejoindre leurs rangs et il accepta sans hésiter. Les Dragons connaissaient bien Kai. Il avait tué certains des leurs, son talent s’était rapporté jusqu’aux oreilles du leader. Autant il aurait voulu le tuer pour ses fautes, autant il préférait se mettre un tel as parmi son jeu. Il proposa donc d’effacer la dette de Kai s’il remplissait les tâches qu’aucun autre n’avait été en mesure de faire. Et c’est ce qu’il fit, se méritant sa place au sein des Dragons, ainsi qu’un respect des autres membres qui le voyaient au départ comme un outcast. Kai devait bien entendu renier les Tigers et pour se faire le tatouage de tigre dans son dos dû être « brisé » (d’abord entaillé avec un X au couteau puis brûlé en partie). Renaissant par le feu, Kai reçut un tatouage de dragon s’enroulant autour de son bras droit (sa main dominante). Un magnifique dragon comme on en voit dans les cérémonies du Nouvel An, toutes griffes dehors, son corps long comme un serpent, sa tête imposante, ses crocs acérés.


Au sein du Dancing Dragon, Kai fut mieux traité que par le passé. Il les considéra même comme sa famille, la première qu’il eut depuis un long moment. Excepté Minho qui malgré tout demeurait en contact avec lui bien que leurs vies prenaient définitivement des chemins différents de jour en jour. Minho avait toujours foi que Kai avait du bon en lui, au fond de lui, qui n’attendait qu’à sortir. Qu’il n’était pas trop tard pour tout lâcher…avant de perdre pied. Mais Kai, têtu comme dix, fonça dans la gueule du loup.


Assassin réputé dans sa bande, il fut offert un contrat alléchant mais le plus dangereux qui soit. Assassiner une famille haut placée. Des politiciens. La maison allait être gardée, surveillance armée sans aucun doute. Il fallait être discret, rapide, efficace. Kai accepta le contrat en déclarant que c’était comme si c’était déjà fait. Tuer une famille noble était une occasion en or pour lui. Il méprisait les gens de la Haute. Ceux qui pouvaient vivre dans le luxe, sans être obligé de fuir, de se terrer et vivre dans la misère, d’éviter les autorités, de tuer pour se nourrir. Il les enviait et donc, les détestait.


Kai élimina les gardes sans trop de difficultés. Il supprima les membres de la famille un à un, comme une exécution. Arrivé au dernier sur sa liste, un jeune homme de son âge, les yeux dévorés par la peur de la mort, un revolver pointé vers sa tête, Kai entendit des coups de feu derrière lui. Déjà la police? Une seconde où il perdit sa concentration fut une seconde perdue de trop. Il tira tout de même, visant la tête du garçon. Lorsqu’il vit le corps de celui-ci s’écrouler au sol, il le considéra mort sans traîner pour vérifier. La police aux trousses, il devait déguerpir. Mais il ne put malheureusement pas aller bien loin, une balle dans la jambe ralentit sa course et il fut arrêté ce jour même. Fin de carrière. Exit la gloire.
 
La suite est sans surprise : détenu jusqu’à son procès, reconnu coupables d’une liste de crimes interminables. Un meurtre seulement suffisait à l’envoyer derrière les barreaux, alors un agenda complet…Kai Lau fut condamné à une sentence à perpétuité dans une prison de Shanghai. 
Refusant de se retrouver enfermé pour le reste de ses jours dans une prison, là où son pire ennemi l’attendait (L’ennui), Kai tenta de se suicider par Hara Kiri, la mort honorifique, avant d’être transféré. Il fut arrêté à temps et soigné en conséquence. Mais sa sentence fut changée. Un tel geste de désespoir soulevait un nouveau détail dans son cas : des antécédents dépressifs? un épisode suicidaire? des troubles mentaux sous-jacents? Voilà qui était matière à enquête. Kai Lau fut alors transféré à l’asile de Poveglia, hautement sécurisé pour le détenir et bien plus « apte » à gérer ses troubles psychologiques…

ou du moins, étouffer le nom de Lau pour les 25 prochaines années…au minimum… 




Mon nom est Jack, j'ai 25 ans. La personnalitée sur mon avatar est Ravi.


:copyright: Halloween de Never Utopia

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