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 Kuran «Kitsune» Amane

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Kuran «Kitsune» Amane Empty
MessageSujet: Kuran «Kitsune» Amane   Kuran «Kitsune» Amane EmptyJeu 22 Aoû - 16:42


KURAN AMANE


16 ans ▬ Japonais/Philippien ▬ Orientation: Doesn’t give a f@!#▬ Kistune (le renard) ▬ Dangereux ▬ On s’en fout


I live   Caractère
This is who I was.
This is who I am.


Joviale tant qu’on ne l’emmerde pas, l’asile n’est ni plus ni moins une cour de recreation pour Kuran Amane, connaissant ce genre de milieu depuis maintenant 3 ans. Jeunot de 16 ans n’ayant nullepart où aller, il propose ses services à tout vent pour ses compagnons de cellules qui désirent quelques bonus pendant leur séjour. Pour se faire, une monnaie d’échange facile qui lui est bien connue et qui lui a toujours servie depuis sa tendre enfance. En effet, Kuran a reconnu rapidement l’efficacité d’être son «propre outil». La façon simple pour entretenir une relation avec Kuran? Les affaires sont les affaires. Paiement promis, paiement dû. Un principe d’égalité absolu. Ainsi, chacun est content et fiche la paix à l’autre. Pour les tricheurs, Kuran n’aime pas trop devoir recourir à des conséquences, mais il ne serait sûrement pas à Poveglia pour rien, compte tenu que cet asile est le troisième qu’il fréquente à ce jour. Si emmerdement, trahison ou souffrance est donné, l’égalité veut que cela soit rendu. On récolte ce que l’on sème.




Before   Histoire
This is my story...

Amane naquit au Japon d’une mère qui ne voulait pas d’enfant et d’un père ayant mis enceinte une prostituée. Il fut alors laissé dans un orphelinat dès ses premiers jours de vie. On le nomma d’abord Amane, rappelant la douceur des sucreries qui donnait l’envie de sourire, exactement comme l’enfant était. Vêtu, nourri et blanchi dans un environnement strict, Amane se faisait souvent pointé du doigt par les autres enfants, le jugeant trop réservé et bizarre. Il ne se mêlait pas aux autres, préférant lire ou rester assied dans son coin. Lorsqu’il fut à l’âge de comprendre ce qu’on lui disait avec un minimum de raisonnement, une responsable de l’orphelinat lui demanda pourquoi il n’avait pas d’amis. Amane lui avait simplement répondu qu’il ne voyait pas ce que cela pouvait lui apporter d’avoir des relations. Surprise de sa réponse, la dame lui avait souri et lui proposa de lui faire découvrir ce que l’amitié peut donner. Dame Phoebe s’occupa alors de Amane pendant quelques années. Elle lui apprit l’anglais et le français, lui enseigna comment lacer ses chaussures seul, comment utiliser une fourchette et les baguettes. Bref, Dame Phoebe devint une mère, mais surtout une amie pour Amane. Les moments passés avec elle étaient agréables et Amane commença à se lier d’amitié avec d’autres enfants, passant de moins en moins de temps avec la dame. Vers ses 8 ans, Amane se réveilla comme chaque matin et partit joindre ses amis. Pourtant, lorsqu’il les vit, chacun le regardait différemment. Amane leur demanda ce qui se passait, recevant comme réponse une tirade de coups. En douleur et à nouveau seul, Amane était confus. Qu’est-ce qu’il avait bien pu faire pour mériter d’être battu de la sorte? L’heure du dîner vint et Dame Phoebe vit Amane à nouveau seul dans son coin, elle vint le voir pour lui demander pourquoi il n’était pas avec ses amis. L’enfant leva la tête vers la femme qui remarqua ses blessures. Lorsqu’elle le questionna, Amane dit la vérité. Dame Phoebe parla alors de punir les coupables, mais Amane refusa. Ce qu’elle lui dit lui resta alors dans l’esprit : « On ne fait pas quelque chose sans raison. On récole ce que l’on sème ». Dans l’incompréhension, Amane laisse Dame Phoebe se charger de la situation. Depuis, chaque jour à l’orphelinat fut couronné de ruades et de coups pour Amane sous la raison que les enfants se faisaient punir par sa faute. Il avait beau leur dire que c’était par leurs actions qu’ils se faisaient punir, les enfants continuaient de l’accuser. Amane dut se résoudre à cacher ses blessures pour faire cesser les conséquences, espérant que cela les fasse arrêter. Il prit alors conscience d’un sentiment douloureux : il venait d’être trahi par ses amis, abandonné alors qu’il n’avait rien fait. Pourquoi se lier à quelqu’un si ce n’est que pour recevoir de la douleur? Mais Dame Phoebe n’était pas comme ça. Elle était son amie, une vraie amie. Son amie qu’il avait laissée derrière pour les autres. Amane en vint à la conclusion qu’il avait été abandonné comme il avait abandonné dame Phoebe. Il repensa alors à l’expression qu’elle lui avait dite. Le jour même, Amane accourut auprès de son amie, s’excusant sans cesse à travers un flot de larmes. Dame Phoebe sourit lorsqu’elle comprit la raison et caressa ses cheveux : « tu ne m’as pas abandonné, c’est moi qui t’aies laissé aux autres. Si j’avais su qu’ils te feraient du mal, je ne l’aurais pas fait. C’est ma faute et j’en paie le prix. » Amane comprit l’ampleur de ce que Dame Phoebe voulait dire et décida de vivre par ce principe. Il fit alors face aux enfants qui lui avaient fait du mal et se mit à les frapper. Ce fut la première fois qu’il fut disputé par Dame Phoebe sous le fait que frapper n’était pas bien. Amane tenta de faire valider son point où ce n’était pas lui le coupable, mais eux. Le tout se termina par une punition où Amane dû rester dans sa chambre. Furieux contre Dame Phoebe, il refusa de sortir de son lit le lendemain lorsque cette dernière vint le chercher. Le soir venu, un membre de l’orphelinat réveilla Amane, lui annonçant la mort tragique de Dame Phoebe pendant une sortie. Il remit une petite boîte que Dame Phoebe avait sur elle et qui était adressé à Amane. En l’ouvrant, un message apparu : « Mon petit Amane, la vie n’est pas toujours facile et il y a bien des choses que nous comprendrons probablement jamais. Sois certain cependant que je comprends ta souffrance et que me disputer avec toi m’a attristé. Je veux seulement que tu puisses compter sur les autres et que tu puisses recevoir autant d’amour que tu en donnes. Rappelle-toi qu’on récolte ce que l’on sème. Je te confie alors ceci, un bien en retour de ton amitié.  Dame Phoebe  P.S. J’ai dû aller acheter une autre chaîne, la mienne étant brisée ». Glissant les doigts dans la boîte, Amane en sortit un pendentif, celui que Dame Phoebe portait toujours. Il se sentit alors coupable et triste. Il s’était chicané avec sa seule amie et en retour de l’avoir rendu triste, on lui avait arraché cet amitié pour lui renvoyer de la tristesse. Elle qui lui avait tant donné, recevant la mort en retour. C’était injuste. Totatellement injuste. Elle ne méritait pas ça. Elle n’avait rien semé pour cela. Ou était-ce son châtiment pour l’avoir chicané? Mais alors, qui avait semé la première graine dans tout ça. Qui était le coupable pour la série de ses événements malheureux? Amane le savait. Faisant mine de retourner au lit, Amane se procura un couteau de la cuisine et s’en prit à l’enfant qui l’avait frappé en premier. Pour lui, cet enfant l’avait fait souffrir puis avait conduit Dame Phoebe à sa mort. Les cris de l’enfant retentirent dans l’orphelinat alors qu’Amane tentait de le faire souffrir autant qu’il avait lui-même souffert. Lorsqu’on l’arrêta, l’enfant fut transporté vers un hôpital où il mourut en chemin. Amane dut quitter l’orphelinat et on tenta de le conduire à un hôpital pour enfants pour l’évaluer. Sur le chemin, il parvint à se sauver et débuta sa vie dans la rue. Il appliqua alors les connaissances que Dame Phoebe lui avait transmis et pu mettre en place un groupe de clochards après avoir rendu divers services. L’un d’eux, un vieillard souffrant de la solitude, le remercie en le surnommant Kuran, le «clan». Le réseau lui permit de vivre encore 5 ans dans la rue. Avec l’aide d’un ado du groupe, il apprit à se servir de son propre corps comme monnaie, se laissant caresser et malmené par d’autres en retour de biens divers. Ayant maintenant 13 ans, il était connu par les sans-abris comme Kitsune Kuran Amane, le renard futé pouvant se procurer ce qu’il voulait. Cette réputation fut le début de la fin. L’adolescent qui avait aidé Kuran devint jaloux de lui et organisa un coup monté pour faire arrêter Kuran, étant recherché par les autorités pour de multiples crimes jugés de légers à grande gravités. Ayant été mis au courant de ce complot, Kuran joua le jeu et se vira au dernier moment en coupant les jambes du responsable. Il fut arrêté et expliqua son dernier acte par l’égalité. Lorsqu’on lui demanda de s’expliquer, il répondit : « Il a failli me faire tuer, mais n’a pas réussi. Il m’a seulement privé de marcher librement. On récolte ce que l’on sème, messieurs ». Étant mineur au sens de la loi et en tenant compte de l’évaluation psychologique émise au moment de sa détention, Kuran Amane fut envoyé à la prison médicale d’Okazaki, où il y demeura quelques mois. N’ayant pas de services pour mineurs et par la gravité de ses crimes, on envoya le jeune dans un second centre de détention, l’Institut K. Kuran y resta pendant 2 ans et demi. Cependant, on le transféra à nouveau, ayant été soupçonné d’avoir causé la mort d’un des médecins. Comme les autres institutions ne semblaient pas convenir aux critères de détention recommandés et que la peine de mort ne pouvait pas être accordée à un jeune de 16 ans, on demanda l’avis d’un médecin étranger qui avait déjà exercé dans un institut isolé sur une île. Il décrivit alors l’état des lieux de cet institut situé à Poveglia. Considérant que le jeune parlait l’anglais et le français aussi couramment que le japonais, le juge accepta la recommandation de Poveglia et Kuran y fut envoyé dans les 24 heures suivantes. Ainsi débute-t-il son entrée dans cet établissement sans pour autant avoir renoncé à ses principes qui lui avaient facilité la vie pendant sa vie de bohème et celle de détenus.




Mon nom est Sandrine , j'ai 23 ans. La personnalitée sur mon avatar est Yoshizawa Ryo.


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